Guy Thomas s'intéresse depuis toujours à la photographie et au cinéma documentaire. Ce sont ces deux passions qui le conduiront dans de multiples voyages à travers le monde d'où il ramènera films et photos : Yougoslavie, Grèce, Espagne, Israël, Afrique du Nord, et surtout Maroc. Il collabore au Service de la Recherche de l'ORTF. Au Cachemire, il réalise un film sur la vie des populations de l'Himalaya de l'Ouest. Intéressé par les problèmes actuels, il réalise, au cours de deux séjours aux USA, un long métrage, New York, huit millions de visages . Il séjourne plusieurs mois au Japon, d'où il rapporte un long métrage, Tokyo, le Japon sans masque . Avec Jean Raspail, il parcourt les Antilles pour capter les images de Haïti et les îles de la mer Caraïbe . Aux Indes, il réalise Le Journal d'un cinéaste en Inde , puis Poème indien, qui traite uniquement de l'art.
Il retourne aux États-Unis pour filmer Ô Californie .
Il parcourt à pied les hautes vallées du Népal puis fait le tour du monde en reprenant le fameux itinéraire du roman de Jules Verne et réalise Le Tour du monde en cent quatre-vingt jours . Il se joint comme cinéaste à une expédition himalayenne.
Il filme les éruptions du Ragarambiro (Zaïre).
Il effectue plusieurs voyages en Chine pour réaliser Pékin et quelques autres parfums de Chine . Passionné par l'art et l'histoire de la Renaissance italienne, il y consacrera plusieurs longs métrages. Il est un des doyens de Connaissance du monde.